Aucun texte législatif ou réglementaire ne détermine explicitement les conditions d'inscription.
S'appuyant sur l'esprit de la loi du 25 octobre 1919, elle se justifie pleinement lorsque le défunt, décédé au cours d'une guerre ou d'opérations assimilées à des campagnes de guerre :

• est né ou domicilié légalement en dernier lieu dans la commune considérée,
• est titulaire de la mention « Mort pour la France ».

Ainsi, certains soldats peuvent figurer sur 2 monuments. Couderc Augustin, par exemple, est également cité sur celui d'Arcambal.

En revanche, tous les combattants inscrits n'ont pas obtenus la mention « Mort pour la France ».
Ils font partis des 100 000 soldats décédés de leurs blessures, morts de maladie, suicidés, fusillés pour l'exemple, pour insoumission qui n'ont pas vu leur décès considéré comme un acte au service de la France.
Le site « généalogie.com » leur rend hommage en dressant un monument aux morts virtuel. Il recense Médal, Dejean, Couderc et Labarre mais avec le prénom Louis (et non Antonin comme gravé sur le monument).

D'après vous, dans quel ordre ont été inscrits ces noms ?